Workshop encadrée par l’artiste Marion Flament
︎︎︎création d’une production artistique en lien avec notre projet
Durant ce workshop d’une semaine encadré par l’artiste Marion Flament, j’ai pu, avec mon binôme Mélinda Le Moigne, explorer une dimension plastique de mon futur projet.
Nous avons réalisé une production plastique, Captive capture, une œuvre où le visiteur se retrouve prisonnier des images en mouvement.
Cette idée est partie du texte En sortant du cinéma de Roland Barthes. Dans ce texte, l’écrivain dépeint la salle de cinéma comme un leurre dans lequel nous sommes prisonniers des images en mouvement et de leur pouvoir hypnotique : “ l'image me captive, me capture.”
Inspirés par cette notion, nous avons cherché à reproduire cette emprise sur le visiteur à travers notre œuvre.
Lorsqu’il entre dans l'espace d’exposition, le visiteur découvre un œil géant projetant un cercle en mouvement sur le mur. Intrigué, il tente de percer le mystère de cette lumière, scrutant cette forme étrange, à mi-chemin entre le cube et le cercle. A l’opposé de l'œil, un trou attire son attention, laissant échapper une lumière tout aussi mouvante. Ce trou, parfaitement dimensionné pour observer avec les deux yeux, incite le visiteur à se pencher pour en découvrir la source. Alors le visiteur se retrouve à contraindre son corps pour se baisser et enfin découvrir la provenance de ces images en mouvement. Dans ce cube creux, une mini salle de cinéma qui capture le regard du visiteur pendant quelques secondes.
Nous avons réalisé une production plastique, Captive capture, une œuvre où le visiteur se retrouve prisonnier des images en mouvement.
Cette idée est partie du texte En sortant du cinéma de Roland Barthes. Dans ce texte, l’écrivain dépeint la salle de cinéma comme un leurre dans lequel nous sommes prisonniers des images en mouvement et de leur pouvoir hypnotique : “ l'image me captive, me capture.”
Inspirés par cette notion, nous avons cherché à reproduire cette emprise sur le visiteur à travers notre œuvre.
Lorsqu’il entre dans l'espace d’exposition, le visiteur découvre un œil géant projetant un cercle en mouvement sur le mur. Intrigué, il tente de percer le mystère de cette lumière, scrutant cette forme étrange, à mi-chemin entre le cube et le cercle. A l’opposé de l'œil, un trou attire son attention, laissant échapper une lumière tout aussi mouvante. Ce trou, parfaitement dimensionné pour observer avec les deux yeux, incite le visiteur à se pencher pour en découvrir la source. Alors le visiteur se retrouve à contraindre son corps pour se baisser et enfin découvrir la provenance de ces images en mouvement. Dans ce cube creux, une mini salle de cinéma qui capture le regard du visiteur pendant quelques secondes.
